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Simon Guilbault signe des scénographies pour le théâtre, l’opéra, la danse, le cirque, le ballet et pour le cinéma.
Récemment il conçoit les décors de La dernière Cassette (2023) d’Olivier Choinière et de Mille (2023) dans une mise en scène de Mani Soleymanlou. Il collabore également avec Alexia Burger; Les filles du Saint-Laurent (2021), Les Hardings (2018), Claude Poissant; Le ravissement (2019), L'Avare (2017), On ne badine pas avec l'amour (2015), Louisiane nord (2004) et Unity 1918 (2003), et Jérémie Niel; Noir (2019) et Cendres (2010).
Avec Marie Brassard il crée les décors de Peepshow (2015 et 2005), Trieste (2013), L'invisible (2008), La Noirceur (2003) et Jimmy, créature de rêve (2001), des pièces applaudies tant au Québec qu’à l’international. Jimmy, créature de rêve a entre autres été vue sur les scènes du Théâtre de l'Odéon à Paris, du Sophiensaele à Berlin et du Barbican Centre de Londres.
Au Grands Ballets Canadien, il conçoit la scénographie pour la nouvelle production de Cendrillon (2023).
À l’opéra, le metteur en scène Oriol Tomas fait appel à lui pour la scénographie de La Traviata (2019) au Icelandic Opera ainsi que pour Twenty-Seven (2019) à l’Atelier lyrique de l’Opéra de Montréal.
Avec le Cirque du Soleil, il signe les décors de Festa (2023), Amora (2022), Divas (2022), Rebel (2019), Joyeux Calvaire – Hommage aux Cowboys Fringuants (2019), Juste une p’tite nuite – Hommage aux Colocs (2018), Bazzar (2018) et Stone - Hommage à Luc Plamondon (2017).
En danse, il collabore avec Line Nault; Non de nom (2022), Super-Super (2018) et avec Dana Gingras; Mountains are mountains (2023) et Somewhere Between Maybe (2015).
Au cinéma, il signe la direction artistique pour Le bruit des arbres, réalisé par François Péloquin (2014) et de Lost Song, Rodrigue Jean (2007).
EN
Design for recent theatre productions includes La dernière Cassette (2023), directed by Olivier Choinière and Mille (2023), directed by Mani Soleymanlou. Also Les filles du Saint-Laurent (2021) and Les Hardings (2018), directed by Alexia Burger.
He also collaborates with Marie Brassard creating set designs for Peepshow (2015 and 2005), Trieste (2013), The Invisible (2008), The Darkness (2003) and Jimmy (2001). Plays that have been acclaimed both in Quebec and internationally. The play Jimmy has been seen on stages of the Théâtre de l'Odéon in Paris, Berlin Sophiensaele and the Barbican Center in London.
Among his accomplishments include his work with Claude Poissant, Marc Beaupré, Jorane, Brigitte Haentjens, Daniel Fortin, Jérémie Niel, Geoffrey Gaquère and Dominic Champagne.
For Les Grands Ballets Canadien, he designs sets for the new production of Cinderella (2023).
At the Opera he collaborates with stage director Oriol Tomas and creates sets for La Traviata (2019) at the Icelandic Opera and for Twenty-Seven (2019) at l’Atelier lyrique de l’Opéra de Montréal.
With Cirque du Soleil, he designs the sets for Festa (2023), Amora (2022), Divas (2022), Rebel (2019), Joyeux Calvaire – Homage aux Cowboys Fringuants (2019), Juste une p’tite nuite – Hommage aux Colocs (2018), Bazzar (2018) et Stone - Hommage à Luc Plamondon (2017).
In dance he collaborates with Line Nault for Nom de non (2021) and Super-Super (2018) and with Dana Gingras for Mountains are mountains (2023) and Somewhere Between Maybe (2015).
His film work includes the production design for Le bruit des arbres (2014) by Francois Péloquin and for Lost Song (2007)by Rodrigue Jean.
